Actualités

Arnaud Guibret, responsable des ressources humaines : « La Cité des Congrès est très loin d’être has been ! »

Interviews

Publié le 25 novembre 2023

This page is also available in English English

Il assure la bonne gestion du déroulement de carrière des salariés, du recrutement au départ de l’entreprise, soit une centaine de salariés.
À 34 ans, Arnaud Guibret est le jeune responsable RH de La Cité. Ce passionné de hockey sur glace, qu’il pratique assidument, trouve dans la diversité des métiers, la modernité du lieu et l’effervescence des événements l’intensité qui convient à son tempérament énergique.

Quelle est votre histoire à La Cité des Congrès ?

Je suis arrivé à l’automne 2020, au beau milieu de la deuxième phase de covid. Le site était à l’arrêt, vide de ses salariés : c’est une prise de poste assez particulière pour un responsable des ressources humaines ! Mes missions étaient alors en grande partie consacrées à la gestion du chômage partiel. Trois mois plus tard, l’activité est repartie comme jamais, un changement de rythme qui n’a pas été facile pour les équipes dans leur ensemble. Avec le recul, ces premiers mois ont été plutôt mouvementés !

Quelles sont vos missions habituelles en tant que responsables des ressources humaines ?

Mon rôle consiste à adapter notre organisation humaine aux évolutions collectives et aux orientations stratégiques de l’entreprise, en lien avec les intérêts individuels des salariés en termes de qualité de vie au travail, rémunération, formation, fiches de postes, etc.

Qu’est-ce que cela signifie d’être responsable RH à La Cité des Congrès ?

L’une des particularités de l’entreprise réside dans la grande diversité des fonctions : il existe presque autant de postes différents que de salariés !
Cette variété des métiers reflète bien les nombreuses étapes du processus événementiel, depuis la prospection jusqu’au déroulé de l’événement, en passant par la prise de commande et l’organisation. Être responsable RH à La Cité signifie aussi voir l’effectif passer du jour au lendemain de 100 — l’effectif permanent — à 150 personnes, avec le renfort des intermittents et intérimaires. Le plus bluffant, c’est que cette variation s’opère très naturellement, le signe que tout le monde maitrise ses propres missions !
Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si une grande partie de nos salariés ont vingt ans ou plus d’ancienneté : ces professionnel·les maîtrisent leur métier sur le bout des doigts et y mettent de l’affect.

Quel regard portez-vous sur La Cité ?

La Cité est pour moi un acteur incontournable du rayonnement de la ville. C’est plutôt motivant de participer à une organisation dont la finalité consiste à divertir, faire vivre des émotions, mettre en réseau ou partager des connaissances. Je suis par ailleurs impressionné par l’incroyable modernité du lieu malgré ses trente années au compteur. Que ce soit en matière d’environnement numérique, de modularité ou de rapidité à faire évoluer les espaces, nous sommes très loin d’être has been !
Le bâtiment peut être vide un jour et accueillir trois événements différents le lendemain, j’en suis toujours impressionné ! 

Quels sont vos moments forts vécus à La Cité ?

La Hellfire Party organisée pour les 30 ans de La Cité reste un grand moment. Importer l’ambiance du Hellfest, flammes comprises, alors que le lieu est plutôt associé à l’univers classique de la Folle Journée, il fallait le faire ! On a cassé les codes de La Cité et tout le monde a été emballé.
La Folle Journée et les Utopiales sont aussi des moments intenses. Ces événements ont beau revenir tous les ans, on ne s’en lasse pas !
Et le responsable RH que je suis est toujours impressionné par les ressources humaines qui permettent cette effervescence, que ce soit en régie, technique, accueil, sécurité ou maintenance du bâtiment.
C’est tout simplement bluffant !