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La Cité des Congrès de Nantes, une destination facilement accessible

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Publié le 27 décembre 2018

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Située en plein centre-ville, face à la gare et à vingt minutes seulement de l’aéroport en navette, La Cité des Congrès jouit d’une desserte multimodale très performante (avion,  train, tram, busway, voiture individuelle) qui facilite l’acheminement des visiteurs, quel que soit le moyen de locomotion utilisé.

Capitale régionale et plus grande agglomération du grand quart nord-ouest, à la fois par sa population (950 000 habitants dans son aire urbaine) et sa superficie (65 km²), Nantes assoit une partie de son attractivité économique sur l’efficacité de ses réseaux de transport. Implantée au cœur d’un pôle d’affaires de dimension internationale circonscrit, au nord, par le quartier de la gare et, au sud, par le secteur tertiaire Tripode (Ile de Nantes), La Cité des Congrès profite de cette position centrale où convergent les grands axes inter et péri-urbains. Connectée à l’infrastructure ferroviaire via le pont de Tbilissi et le quai de Malakoff qui, de part et d’autres du Canal Saint-Félix, enjambent les deux rives de l’Erdre, elle est desservie directement par le busway (ligne 4) et indirectement par le tram (ligne 1) dont la station la plus proche « Duchesse Anne – Château des Ducs de Bretagne » est localisée à hauteur de la gare TGV (sortie Nord). Au départ de la SNCF, deux services Chronobus rejoignent également l’arrêt « Le Lieu Unique » distant de 400 mètres environ de l’entrée principale de La Cité, rue de Valmy. La Cité des Congrès de Nantes se situe à moins de 10 minutes à pied de la gare (environ 500 mètres).

Quelle accessibilité en fonction du moyen de locomotion utilisé ?

En avion

Par voie aérienne, et dans l’hypothèse d’un vol direct (sans escale), Nantes est accessible en moins de deux heures depuis n’importe quelle ville de la métropole française. A l’échelle du continent européen, la liaison avec Londres (Grande-Bretagne) est inférieure à 1h30 et, chaque jour, plus de 10 appareils en provenance de Paris (Roissy Charles-de Gaulle ou Orly) atterrissent dans le 44, au sud-ouest de l’agglomération à Bouguenais/Saint-Aignan-Grandlieu. Les 26 compagnies régulières qui officient sur place desservent plus de 100 destinations directes et transportent 5 à 6 millions de voyageurs par an.

L’aéroport de Nantes, qui propose déjà une cinquantaine vols vers des villes étrangères, dont deux trajets transatlantiques en direction de La République Dominicaine (Punta Cana) et la métropole québécoise Montréal (auxquels s’ajoutent une connexion saisonnière au Dom français La Martinique), va encore renforcer son développement à l’international : à la ligne ouverte en direction de Tel-Aviv (Israël) depuis le 7 novembre 2018, la compagnie low cost Transavia, filiale d’Air France KLM, ajoutera en avril 2019 de nouveaux allers-retours à son catalogue : sur cette liste sont annoncés Budapest (Hongrie), Copenhague (Danemark), Santorin (Grèce) et Mykonos (Grèce).  A partir du printemps prochain, Ryanair étoffera également son programme avec  des liaisons vers Naples (Italie), Manchester (Angleterre), Valence (Espagne) et Malte. En France, les avions de la compagnie irlandaise relieront Nantes et Bordeaux-Mérignac  dès le 1er avril 2019, à raison de 4 vols hebdomadaires chaque lundi, mercredi, vendredi et dimanche.

Fin octobre 2018, une étude réalisée par le voiturier Ector*  avec Harris Interactive a élevé « Nantes –Atlantique » au rang d’aéroport « le plus accessible de France » devant Toulouse-Blagnac, Orly et Nice Côte d’Azur. Un résultat fondé sur l’évaluation de plusieurs critères relatifs à la capacité des parkings proposés « in situ », la proximité du centre-ville et la disponibilité des différents modes de transport déployés au départ de l’équipement (taxi, VTC, bus).

11 kilomètres séparent Nantes-Atlantique de La Cité des Congrès, un trajet couvert en un peu plus d’un quart d’heure par un service de navettes spéciales en partance de l’aéroport (devant le hall 2), au rythme d’un embarquement toutes les 20 minutes environ, du lundi au samedi de 6h15 à 23 h15 (arrêt le plus proche de la Cité, « Le Lieu Unique »).

*Voir l’enquête ici

En train

Un peu plus de 10 millions d’usagers transitent tous les ans par la gare centrale de Nantes, un complexe divisé depuis 1989 en deux bâtiments dotés d’un accès chacun, l’un donnant sur le boulevard de Stalingrad (nord), l’autre sur le quai de Malakoff (sud), au bord de l’Erdre, sur la rive opposée à celle où se dresse la Cité des Congrès (à environ 500 mètres à pied). Dès 2020, une mezzanine de 160 mètres de long et 25 mètres de large reliera ces deux « parties » et desservira directement les quais situés en contrebas. Ce couloir lumineux, qui fera office à la fois de galerie avec des commerces, des services et des espaces de confort, est l’élément phare d’un projet de réaménagement plus vaste dessiné par l’architecte varois Rudy Ricciotti (concepteur du stade Jean-Bouin à Paris et du Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille).

Côté nord, un grand plateau de 3 500 m², qui fusionnera dans un même ensemble piétonnier l’esplanade Pierre Sémard (à l’entrée de la gare actuelle) et la place Charles-Leroux (devant le jardin des Plantes), va être créé pour faciliter l’accès à la station de tramway. Dans le bâtiment sud, un pôle regroupera les espaces dédiés aux autocars, aux taxis, aux loueurs de voiture, et la plupart des parkings.

Ce chantier d’envergure doit permettre d’adapter les lieux à la hausse de la fréquentation et d’optimiser leur capacité (25 millions de voyageurs sont attendus à l’horizon 2030, soit le double d’aujourd’hui). L’objectif est également d’améliorer l’intermodalité entre les différents transports collectifs et d’inscrire la gare dans une longue promenade verte et bleue jusqu’à la Loire.

Chaque jour, l’infrastructure draine un important trafic ferroviaire : une vingtaine de TGV entre Paris et Nantes (moins de 2 heures de temps de trajet à partir de la gare Montparnasse), quatre liaisons avec l’aéroport de Roissy et des voyages directs vers les plus grandes métropoles françaises (Lille, Lyon, Marseille, Strasbourg….).

La gare se trouve à moins de 10 minutes à pied de La Cité des Congrès (500 mètres).

 

En voiture

Etape majeure sur la route des Estuaires – succession ininterrompue de voies rapides aménagées le long de la façade Manche-Atlantique -, Nantes est accessible, depuis le nord de l’Europe et la région Hauts-de-France sans un passage obligé par le nœud parisien.

A partir de la capitale, le trajet traditionnel vers le chef-lieu de Loire-Atlantique se fait par l’autoroute (A11) en moins de quatre heures via Le Mans et Angers (70 euros de péages).

En provenance du sud-ouest, des automobilistes toulousains ou bordelais rejoignent Nantes par l’A83 en respectivement 5 et 3 heures de temps ;

Dans un rayon plus réduit, Rennes se trouve à un peu plus d’1 heure de route (N137), La Rochelle à 1h45 (A83), Poitiers à 2 heures (A83) et Brest à un peu plus de 3 heures (N165).

Dans tous les cas, dès l’entrée sur le périphérique qui ceinture l’agglomération, il faut suivre la direction « Nantes Centre » pour rallier La Cité des Congrès et son parking de 420 places (accès par l’avenue Jean-Claude Bonduelle, de 6h30 – 00h à minuit, et de 8 heures à 19 heures le dimanche, 24h/24 avec un ticket horaire). Une capacité à laquelle s’ajoutent quelque 2 000 autres emplacements offerts par les zones de stationnement alentours : trois parkings « Gare Sud » quai de Malakoff, rue Marcel-Paul, rue de Lourmel, rue du Pré-Gauchet, et parking Yespark, rue de Bitche).

Pour information : La Cité des Congrès met à disposition des exposants un espace de stationnement temporaire permettant un accès direct aux espaces d’exposition.